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Un
merle ingénieux |
15
janvier 2009 - 17h30 |
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| Environnement & Météo
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- La terrasse, le jardin avec le bassin
à nénuphars, le carbet avec la gamelle
d'Athéna.
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| Observations
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- Petite pause café-clop de
fin d'après-midi avec ma chérie
sous la terrasse, tranquille. Dans
le jardin, merles et tourterelles
font leurs affaires, à savoir
piquer des croquettes dans la gamelle
d'Athéna (notre chienne, una
fila do Brazil qu'elle te joue lé foutchébol
côm Pélé, ma
cha ché oune ôtre hichtoirche).
Un peu hébété par
une bonne journée de travail
(oui, je sais, je dis des gros mots)
je n'avais rein vu et c'est Ma'ame
Scawlet qui me sort de ma torpeur
avec un "Tu as vu ?" pour
me signifier que justement j'avais
rien vu du tout.
- Figure-toi qu'un
merle
mâle va à la gamelle, prend une
croquette dans son bec. Il faut
préciser qu'elles sont grosses
et dures, les croquettes (pour
cause de gros chien) et impossibles à avaler
telles que. Figure-toi donc que,
la croquette en bec, il va jusqu'au
bassin aux nénuphars,
trempe la croquette dans l'eau
puis va se percher sur une souche
non loin et tente de la briser.
- Et
attends, il a refait ce même
manège au moins 3 fois
pour obtenir la bonne consistance
et pour bien nous montrer que
c'est pas par hasard, et puis
il est parti sur le toit finir
sa croquette.
- Kestendis ? C'est
y pas futé,
ces p'tites bestioles ? À se
demander à qui il pensait,
celui qui a inventé l'expression "avoir
une cervelle d'oiseau" en
voulant caractériser un
comportement oublieux.
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